Adlatus Léman a eu le plaisir d’accueillir deux représentants de la société Pragm@TIC pour une conférence passionnante sur la résilience des organisations.

D’une manière générale, Pragm@TIC fournit des conseils en lien avec la stratégie d’entreprise. Plus précisément, elle vous assure que vous avez pris en compte tous les éléments décisifs pour pouvoir prendre des décisions rapides et pertinentes en cas de crise.

Lors de leur conférence, Vincent Ottinger et Charly Delay nous ont exposé leur vision de la résilience.  

Qu’entend-on par organisation résiliente ?

“Une organisation résiliente est une organisation consciente, qui maîtrise ses risques, est organisée en cas de crise et a prévu des plans de secours pour assurer la continuité de ses activités.”  (Pragm@TIC-Consulting)

Pour eux, il existe 4 questions auxquelles doivent répondre les dirigeants :

  • Maîtrisons-nous nos risques ?
  • Sommes-nous prêts à gérer une situation en cas de crise ?
  • Avons-nous des plans de secours pour assurer la continuité de notre activité ?
  • Nos collaborateurs sont-ils conscients des comportements à adopter et des enjeux de la continuité ?

Et vous, pouvez-vous y répondre ?

Pragmatic & Adlatus :

Pour Pragm@TIC, Adlatus répond directement à un besoin ! Celui de pouvoir remplacer immédiatement un dirigeant qui est en incapacité de travailler suite à une maladie, à un accident ou encore à un décès.

Les membres d’Adlatus ont la capacité d’assurer la poursuite du travail quotidien et, ce qui est essentiel, de pouvoir rassurer les équipes. Pour en avoir un exemple concret, nous vous invitons à lire cet article : Un Adlate chez Enjeu

Cette rencontre entre Pragm@TIC et Adlatus a suscité une réelle opportunité de créer des synergies entre nos deux organisations.

De nouveaux espaces s’ouvrent à nous et nous sommes ravis de démarrer cette aventure avec des personnes aussi dynamiques et intéressantes que Vincent Ottinger et Charly Delay. Nous les remercions chaleureusement pour leur intervention.

Former le capital humain à collaborer avec les intelligences artificielles.

L’intelligence artificielle (IA), les seniors d’adlatus en entendent parler depuis belle lurette ! Son objectif, répété lors de ce Forum, est de faciliter la vie de l’humain.

L’IA facilite-t-elle réellement la vie ?  

Comme témoin et acteurs des évolutions, nous pouvons effectivement affirmer que, sur bien des aspects, la technologie a facilité notre quotidien, même si elle crée par ailleurs d’autres problématiques.

Dans les entreprises :

La technologie permet de simplifier les processus. L’automatisation nous libère des tâches peu intéressantes et nous fait gagner du temps. De plus, le monde de la production a littéralement changé depuis que les machines – qui n’ont pas besoin de planning ni de vacances – ont progressivement remplacé l’humain dans certaines tâches en apportant davantage de précision, de rapidité et de productivité.

Tout ceci n’est qu’un avant-goût de ce qu’il sera possible de faire demain. Nous en avons eu un bref aperçu lors de ce forum : des robots imitant des humains et la création d’un univers virtuel peu réglementé.

Un savoir accessible à tous :

Hier, il nous fallait travailler sur notre savoir pour envisager d’avoir du pouvoir. Aujourd’hui, le savoir se trouve aux bouts de nos doigts. Alors comment faire la différence ? Il semblerait que la seule intelligence qu’il faille est émotionnelle ! Pour nous, qui avons passé notre vie à apprendre et à développer notre savoir, il nous est parfois difficile d’envisager une autre manière de fonctionner, mais ceci est un autre sujet.

Comment rester compétitif dans un monde en constante évolution ?

Plusieurs personnes qui sont intervenues ont rappelé le Top-10 des compétences qui seront particulièrement utiles en 2025 (et pour certaines aujourd’hui déjà !), telles qu’identifiées par le World Economic Forum.

Qu’est-ce qui fait la force d’un dirigeant ?  

La capacité à anticiper n’a-t-elle pas toujours été la compétence clé pour un dirigeant ?  De plus, n’avons-nous pas dû, de tout temps, faire preuve de créativité ?  

Nous reconnaissons que les règles du jeu ont un peu changé. Désormais, nous devons intégrer de nouveaux outils dans nos habitudes de travail, accepter que les mentalités changent, que les besoins évoluent. N’était-ce pas déjà le cas précédemment ?

La question d’hier est la même que celle d’aujourd’hui : comment pérenniser son entreprise ?

Il semblerait que la technologie ne nous apprenne pas encore à le faire et encore moins à comprendre nos comportements, même si souvent, elle prétend le contraire. Peu importe l’univers dans lequel vous vous promènerez, virtuel ou non, vous resterez confrontés aux mêmes problématiques. Pourquoi ? Parce que nos interlocuteurs, indépendamment de l’intermédiaire par lequel nous passons, sont et – espérons-le – resteront des êtres humains.

Comment faire pour travailler harmonieusement avec ses collaborateurs ? Et s’il arrive qu’ils ne soient plus nécessaires, avec ses clients, ses fournisseurs, ses partenaires ?

C’est ici qu’intervient la valeur de notre expérience, à nous les « anciens », quel que soit l’environnement : nous avons su continuer à faire fonctionner nos entreprises, en cherchant à comprendre comment nos semblables fonctionnent et quels étaient leurs besoins pour avancer dans la même direction que nous… tout en fidélisant nos collaborateurs et en développant notre clientèle.

Dès lors, nous pensons que la technologie ne changera rien au fonctionnement stratégique d’une entreprise. Parce qu’en dernier ressort, il appartiendra toujours au dirigeant et au conseil d’administration de prendre les bonnes décisions permettant d’assurer sa pérennité.

Mais alors, devons-nous vraiment apprendre à collaborer avec l’intelligence artificielle ou simplement nous assurer qu’elle sera et restera au service de l’homme ?

Dans tous les cas, l’équipe d’adlatus Léman se réjouit d’en discuter avec vous ! 


Le mardi 23 août s’est tenu au Centre Patronal à Paudex le Rendez-vous de la formation.

Christophe Reymond, directeur du Centre Patronal, a introduit la soirée en rappelant que la formation joue un rôle central et que ses enjeux sont d’une première importance pour garantir

  • l’épanouissement personnel,
  • l’ouverture dans de bonnes conditions au monde professionnel,
  • la prospérité de notre économie.

La promotion de l’apprentissage :

De nombreux efforts doivent être fournis pour promouvoir l’apprentissage. Pour qu’il ne soit plus vu comme un second choix ou une option moins prestigieuse que la voie universitaire.

Monsieur Reymond invite le Conseil d’Etat à solliciter le Centre Patronal pour œuvrer ensemble dans cette direction.

Pourquoi ces études qui se prolongent ?

Il n’est pas rare qu’on fasse son gymnase sur quatre ans ou qu’on ajoute des semestres supplémentaires pour terminer son cursus universitaire.

Cela ne fait que retarder le moment où les jeunes peuvent entrer dans le monde du travail. Ce qui a des impacts considérables sur les comptes publics, car il faut financer les bâtiments et les professeurs. Un effort financier plus important doit également être assumé par les parents. Sans oublier que les jeunes n’en peuvent plus de ces années supplémentaires.

Il est important de rappeler que la formation se fait tout au long de la vie.

Nous avons la chance, en Suisse, de pouvoir continuer à nous former tout au long de notre vie. Le panel de possibilités est vaste entre les formations publiques et privées. D’ailleurs plus de 100 établissements privés reconnus sont installés dans le canton de Vaud. Il est très important pour Monsieur Reymond que la loi sur l’enseignement reste souple et attractive pour que ces établissements restent chez nous.

La rentrée scolaire de Monsieur le conseiller d’Etat Frédéric Borloz :

Monsieur Frédéric Borloz, chef du Département de l’enseignement et de la formation professionnelle, nous fait part de son plaisir d’avoir repris ce département. L’un des avantages de la politique pour lui est notamment de pouvoir découvrir de nouveaux milieux de nouveaux univers.

Un plan d’action par rapport l’avenir de nos jeunes :

Il mentionne tout d’abord que 87,6% des jeunes ont suivi une formation dans le canton de Vaud, tous domaines et études confondus. Pour lui, c’est là qu’il faut agir, et rapidement, en valorisant la formation auprès des jeunes, en allant à leur rencontre pour

  • susciter des questions sur l’avenir de chaque jeune
  • mettre en place des « semaines de la formation »
  • développer les stages

Ce travail de promotion doit se faire conjointement avec les associations professionnelles.

Pas de nouveaux métiers, mais des métiers en évolution :

Les métiers évoluent fortement et il est important de communiquer sur ces évolutions pour montrer ainsi à nos jeunes les possibilités d’avenir qui s’offrent à eux. Car l’image de chaque métier est à revoir.

Il s’agit également de regrouper les différents métiers en troncs communs à partir desquels découlent de nombreuses spécifications. Chacun pourrait ainsi mieux s’y retrouver et choisir ou non de se spécifier.

Un concept intéressant à 360°

Le « concept 360° » a pour mission de rendre les écoles inclusives. Si le conseiller d’Etat ne remet pas en question cette démarche – pour lui tout le monde a le droit de vivre dans notre société et d’y trouver une place – il constate en revanche une certaine complexité dans la mise en place. Autant de défis pour le tout nouveau chef de département.

Une remise de prix émouvante

Le Centre Patronal décerne trois Prix du Mérite chaque année depuis 2020. A travers cette récompense, il souhaite mettre en avant les qualités de jeunes méritants et récompenser des parcours hors normes. Un comité composé de professionnels de la formation et de chefs d’entreprises sélectionne les lauréats.

couvrez plus d’informations sur ce prix ici ! L’équipe d’Adlatus remercie le Centre Patronal pour la qualité de ses événements.

Que se passe-t-il quand une association qui gère 250 collaborateurs se voit privée de directrice du jour au lendemain ?

L’Association intercommunale de Rolle et Environs pour l’Enfance & Jeunesse nous fait part de son expérience en pareille situation.

Laurent Crampon, Président de l’association et Syndic de la commune de Bursinel, répond volontiers à nos questions.

En fait, c’est quoi EnJeu ?
C’est tout simplement l’Association intercommunale de Rolle et environs pour l’Enfance & la Jeunesse.

Son but : pourvoir aux besoins de la scolarité obligatoire et de l’accueil de jour pour les enfants qui sont domiciliés sur le territoire des 11 communes associées.

Sa mission : encadrer, coordonner et développer les activités liées à la journée de l’enfant, que cela soit dans le domaine scolaire, préscolaire ou parascolaire.

Vos premiers reflexes suite à ce départ soudain ?

Pour faire face à cette situation imprévue, nous avons immédiatement délégué deux membres de notre conseil de direction pour assurer la relève en attendant de trouver une personne plus adéquate. La priorité pour nous, c’est d’abord de rassurer les collaborateurs !

Une personne adéquate ?

Conscient que le recrutement d’un nouveau directeur prendrait du temps, nous avons recherché une personne qui soit en mesure de reprendre la direction opérationnelle de l’association au pied levé, mais de manière transitoire.

Nous avions besoin de quelqu’un qui sache gérer la crise avec calme et recul.

Où la trouver ?

Nous avons fait appel à notre réseau et il nous a été recommandé de contacter Adlatus. Lors d’un premier entretien avec le président Gérard Beuchat et le conseiller Jean-Yves Goumaz, l’association Adlatus nous a été présentée.

C’est le plus grand réseau de consultants en Suisse. Ces anciens dirigeants et managers mettent à disposition des entreprises leurs compétences et expériences.

Ce que nous avons particulièrement apprécié, c’est d’avoir eu le choix ! Adlatus Léman ne nous a pas imposé un conseiller mais nous a invité à choisir celui qui correspondrait le mieux à nos besoins.

Pour faire face à cette situation, la sérénité et le calme de Monsieur Goumaz nous ont convaincu et sa flexibilité nous a permis de démarrer rapidement.

Le rôle de Jean-Yves Goumaz, conseiller chez Adlatus ?

En janvier 2022, quand Jean-Yves nous rejoint, les différents acteurs de notre structure sont à bout de forces. Nous sortons tout juste de deux années compliquées qui ont laissé des traces, une guerre vient d’éclater et l’instabilité est à son comble. Le départ d’une directrice en poste depuis 5 ans est la goutte de trop pour nos équipes. Affaiblies, une baisse de résilience générale se fait sentir. C’est à cette fatigue généralisée que le comité de direction doit faire face. Et c’est à Jean-Yves Goumaz que la mission d’apaiser les tensions accumulées est confiée.

Il doit gérer une vingtaine de collaborateurs et reprendre le travail quotidien de l’association. C’est une structure complexe par son implication politique et par le domaine délicat qu’est l’enfance. Pourtant Jean-Yves a su compenser son manque de connaissances du métier par son expérience et son attitude.

Comment s’est déroulé le recrutement du nouveau directeur/directrice ?

Nous avons fait appel à une agence de placement pour sélectionner les dossiers et procéder aux assessments. Sur les 4 dossiers retenus, c’est finalement Madame Isabelle Houmard que nous avons engagée au 1er juin 2022.

Jean-Yves est resté pour l’accompagner dans sa prise de fonction.

Madame Houmard, qu’avez-vous pensé de ce passage de témoin ?

Ce qui m’a marqué à mon arrivée, c’est qu’elle avait été fort bien préparée. J’ai senti que Jean-Yves Goumaz avait travaillé à la transition avant que je sois là. Il est passé avec finesse du directeur opérationnel à l’accompagnateur, au mentor. Ceci a permis aux collaborateurs d’intégrer parfaitement le changement de rôle.

La posture respectueuse de Jean-Yves m’a immédiatement mise à l’aise. Il m’a accompagnée et m’accompagne encore dans certaines séances qui peuvent s’avérer plus complexes.

Collaborer avec une personne externe qui connaît si bien le fonctionnement interne permet d’obtenir des retours critiques avec le bon recul.

Mes conditions de reprise du poste ont été fortement améliorées grâce à la présence de mon mentor. Je suis reconnaissante de cet appui et je ne peux que recommander les services de Jean-Yves Goumaz.

Et vous Monsieur Crampon ? Recommanderiez-vous Adlatus ?

Adlatus oui, surtout parce que Jean-Yves a été un excellent ambassadeur ! Mais il faut relever qu’Adlatus nous a présenté la bonne personne pour la bonne situation et c’est l’une de leurs forces.

Notre comité de direction a su anticiper le risque si on n’investissait pas dans un appui externe et aujourd’hui nous sommes tous très satisfaits de cette collaboration. Nous avons gagné en termes d’efficience grâce à son intervention. En mélangeant son intelligence émotionnelle et sa vision de l’opérationnel, il a su renforcer notre structure.

De plus, Jean-Yves a une vision moderne du mangement, il n’est pas directif mais sait comment impliquer les collaborateurs dans la réflexion. Il questionne, écoute, considère.

Il ne se prend pas au sérieux mais fait les choses sérieusement.

La suite de Jean-Yves chez EnJeu ?

Jean-Yves est un atout pour notre organisation, nous ne voulons pas nous en séparer. En revanche la forme de ses interventions va évoluer. Il a commencé chez nous comme directeur ad-Intérim, puis comme mentor et il est prévu qu’il anime une formation sur la vision d’avenir de la structure. Quant au reste, c’est en cours de discussion, mais nous souhaitons profiter de ses conseils et de sa vision pour la suite d’EnJeu.

Nous avons le plaisir de vous présenter le parcours riche et intense de notre tout nouveau membre, Albert Lammers. Une chance pour Adlatus Léman et pour vous, dirigeants d’entreprise, de travailler avec un dirigeant expérimenté.

Après plus de 20 ans d’expériences comme CFO du groupe Eldora (anciennement DSR), il décide de nous rejoindre. Mais n’allons pas trop vite !

Que représente le Groupe Eldora ?

C’est plus de 2’000 collaborateurs et environ 350 millions de CA. Leur domaine d’activité : la restauration de collectivités.

Sans surprises, la crise sanitaire les a particulièrement touchés. Mais Monsieur Lammers n’en était pas à sa première crise, et heureusement.

Ainsi, il a su s’adapter et faire face, grâce à la volonté commune de la direction et des collaborateurs et à la mobilisation de toutes les ressources. Pour lui, le management de crise exige un travail d’équipe permanent. Ce sont les liens forts entre les différents acteurs de l’entreprise qui permettent de surmonter de telles situations d’incertitude. Ils ressortent de ces deux années mouvementées encore plus solides et soudés.

Au-delà des crises ?

Le rôle d’Albert Lammers était, en particulier, d’anticiper et d’analyser les résultats de l’entreprise. Il validait les budgets, les bouclements et faisait avancer les projets. Avec ses collègues, il assumait également l’élaboration des projets d’entreprise et des « feuilles de route ».

Mais après ces nombreuses années de bons et loyaux services, Monsieur Lammers décide de tirer sa révérence en prenant une retraite anticipée bien méritée.

Mais que va-t-il bien pouvoir faire de tout ce temps ?

Et que vont devenir ses compétences ?

Pour lui, il est n’est pas question de se la couler douce. Au contraire, il rejoint Adlatus Léman pour justement :

  1. Rester actif socialement : rencontrer de nouvelles personnes de tous horizons, que ce soit au sein d’Adlatus ou dans le cadre des mandats qui lui seront confiés
  2. Rester actif intellectuellement : continuer d’utiliser et de développer ses compétences et, pourquoi pas, en acquérir de nouvelles.

Pour lui, c’est également l’opportunité de faire partie d’un groupe de personnes avec lesquelles il peut partager des valeurs, des domaines d’intérêt et des objectifs.

Monsieur Lammers, quelles sont vos attentes envers notre association ?

« Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays » (J. F. Kennedy).

Je ne me vois pas dans une position d’attente vis-à-vis d’Adlatus. Je viens d’intégrer cette structure et la question prioritaire me semble plutôt être celle de mon apport. Ceci dit et avec cette réserve, il m’apparaît qu’Adlatus est susceptible d’offrir à chacun de ses membres les avantages suivants (qui correspondraient donc à mes « attentes ») :

  • La diversité et la complémentarité des ressources et des compétences.
  • La notoriété, grâce à la présence de sections Adlatus sur tout le territoire national.
  • La visibilité (cf. sites, LinkedIn, etc.).

Ce que je souhaite apporter à Adlatus comme association, mais également dans mes futurs mandats

  • Ma contribution, pour faire connaître ce groupe au sein de mon réseau et de contribuer à son développement

Comment ?

  • Par l’acquisition de mandats pour mes collègues ou pour moi-même.

Et pour Adlatus Léman ?

Nous sommes conscients des avantages qu’il représente pour notre structure. De ses compétences complémentaires à son réseau. De plus, l’arrivée de nouveaux membres apporte du dynamisme et un regard neuf sur notre fonctionnement. Ce qui est bienvenu et nécessaire pour continuer à se développer.

Et vous dirigeants d’entreprises ?

La mission d’Adlatus est d’offrir l’opportunité aux entreprises de profiter de nos experts en gestion et management. C’est la chance pour vous, dirigeants actuels, d’apprendre avec ceux qui sont déjà passés par là. Nous vous offrons le bon recul et mettons à votre disposition nos compétences et expériences.

Alors si vous avez besoins … :

  • de conseils spécifiques,
  • d’un coaching, ou
  • d’un remplacement de directeur en toute urgence,

n’hésitez plus et contactez-nous !