L’événement du jeudi 1er décembre organisé par la CVCI, auquel Adlatus Léman était présent, avait pour but de mettre en avant des entreprises du domaine de la ludification (en anglais gamification).
Adlatus Léman se demande quand même, jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour vendre plus ? Faut-il se laisser tenter par la ludification?

Mais d’abord, c’est quoi la ludification?

« En des termes simples, la ludification consiste à transposer les techniques de motivation du jeu dans un domaine non ludique, comme le travail par exemple.
Ces techniques incluent la fixation des objectifs pour accomplir une mission, récompenser les utilisateurs, les engager par la compétition, les encourager à collaborer en équipe, leur donner des statuts qui vont les élever aux yeux des autres et, bien sûr, leur faire gagner des points. »
Source : https://blog.incenteev.com/fr/2015/03/gamification-definition

Nous avons pu bénéficier de trois présentations très intéressantes :

1. Barth Favre, responsable du marketing du premier casino en ligne de Suisse.

La clientèle des jeux en lignes n’est pas la même que celle qui se déplace au casino. Par conséquent, aucun casino, virtuel ou réel, ne fait de l’ombre à l’autre. Au contraire, il permet de faire le lien entre les joueurs virtuels et les casinos physiques. Ceci grâce à des points qui peuvent être transformés en jetons. C’est là le principe même de la ludification.

2. Une présentation de la blockchain, trop brève malheureusement en raison du temps à disposition, de Sheraz Ahmed de STORM Partners.

La blockchain est une technologie qui permet de garder la trace d’un ensemble de transactions, de manière décentralisée, sécurisée et transparente, sous forme d’une chaîne de blocs. Elle permet à ses utilisateurs, connectés en réseau, de partager des données sans intermédiaire

STORM Partners entend s’engager à jouer un rôle de premier plan dans l’évolution de l’écosystème blockchain et crypto. Ceci avec pour ambition d’en maximiser le succès, de minimiser les risques potentiels et d’aider à faire évoluer l’ensemble de l’industrie vers un avenir décentralisé qui assurément changera bien des vies. S’il est vrai, comme l’affirme Monsieur Ahmed que l’on passe en moyenne 7 heures par jour sur internet dans le monde pour environ 5 heures en Suisse, l’avenir se trouve peut-être bel et bien sur le net . Mais au risque de se couper davantage des uns et des autres.

3. Présentation du service Gamification for business, par Quentin de Lattre de Marvelous.

Cette entreprise crée des jeux sur mesure, avec ou sans technologie, pour tenter de générer plus d’engagement chez les cibles ou collaborateurs de leurs clients. Mais on peut quand même s’interroger sur le bien fondé de générer de la valeur en créant l’addiction !

Chez Adlatus Léman, nous continuons à miser sur d’autre technique, des techniques qui paraîtront à certains ancestrales, mais qui ont l’immense avantage de bien fonctionner. La vente n’est somme toute pas bien compliquée quand on sait comment ça marche. C’est pourquoi nous sommes à votre disposition pour vous transmettre tout ce qu’une vie d’expériences nous a offert.

1 réponse
  1. Curchod
    Curchod dit :

    La “gamification” se concentre, essentiellement, sur une approche virtuelle certes moderne et dans “l’air du temps” mais très éloignée de la réalité. L’essence même d’adlatus repose sur les compétences et l’expérience de ses membres, acquises au cours de dizaines d’activité professionnelle. Nous sommes une “armée” de personnalités qui privilégient le “face à face” qui est, probablement l’une de nos valeur ajoutée essentielle. L’écoute active et la bienveillance des “cheveux blancs” me semblent essentielles au pays du “tout à l’internet”…

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